L'examen médical

En Savoir plus

La première consultation longue associe une écoute attentive de l’enfant et de ses parents à un examen clinique minutieux, véritable bilan de la situation.

Cet examen médical complet comprend :

• UNE EXPLORATION DE LA FONCTION RESPIRATOIRE

• DES TESTS CUTANÉS D'ALLERGOLOGIE

• DES QUESTIONNAIRES VALIDÉS SCIENTIFIQUEMENT :
ANXIÉTÉ, ÉVALUTATION QUALITATIVE DE LA RESPIRATION

S’il s’avère qu’il existe une composante anxieuse dans les symptômes, un parcours de soins va être proposé qui tient compte de l’âge de l’enfant, de ses besoins, de ses affinités.

Élaboration du programme

Ce parcours s’élabore en concertation avec l’enfant afin que celui-ci se sente acteur de son programme.

Ce programme comprend un cycle d’une durée déterminée incluant différents ateliers (session individuelle ou petit groupe) et des soins. Il faut une régularité minimum et un certain degré d’enchaînement de ces ateliers pour obtenir une synergie et une efficacité de ces thérapies.

Le médecin accompagne et coordonne la prise en charge globale. La communication entre les thérapeutes est constante, ce qui permet d’adapter au mieux le parcours en cours de cycle si cela est nécessaire.

L’important est donc de ne pas simplement additionner des pratiques ou des avis successifs mais de les optimiser vers un objectif de santé bien défini plus utile et efficace.

Évaluation des bénéfices

A l’issu de ce cycle, il y aura une évaluation des bénéfices par des questionnaires validés donnant :

•La mesure de l’évolution de l’aspect qualitatif de la respiration.
•La mesure de l’impact du cycle sur le symptôme

A la fin du cycle seront aussi déterminés les besoins éventuels d’entretien et d’un suivi personnalisé.

LE CHOIX DES THÉRAPIES

Le choix de thérapies et surtout des thérapeutes a été validé par mon expérience et comprend quatre piliers fondamentaux :

Le yoga
L'ostéopathie
Le chant
La sophrologie

Le yoga

La pratique du Yoga selon B.K.S Iyengar® est fondée sur une pratique approfondie des postures de yoga appelé ASANAS et du PRANAYAMA, l'art de la respiration.
C'est une méthode rigoureuse basée sur l'alignement du corps et la précision dans les postures de yoga.

Le Yoga Iyengar se caractérise par :

• L'attention portée sur l'alignement des différentes parties du corps dans l'espace
• Une organisation des séquences posturales
• Le temps dans les postures
• L'utilisation des supports : sangles, briques, couvertures, chaises, cordes,...
L'enseignement est progressif et adapté aux possibilités corporelles de chacun. L'utilisation des supports facilite l'apprentissage des postures de yoga afin de développer la capacité du corps dans la posture.

ASANA - POSTURES

Les āsana apportent la solidité et la légèreté des membres. Une posture stable donne de l’équilibre mental et empêche l’esprit d’être inconstant. Les āsana ne sont pas de simples exercices de gymnastique ; ce sont des postures. En les pratiquant, on développe sa souplesse, son équilibre, son endurance et on acquiert une grande vitalité. Les āsana, dont l’élaboration a duré des siècles, sont destinés à exercer chaque muscle, chaque nerf et chaque glande du corps. Ils diminuent la fatigue et apaisent le mental. Mais leur importance réelle réside dans la façon dont ils exercent et disciplinent l’esprit. La santé est le silence de la conscience physique et mentale. Le yogi se libère des limitations physiques et de la dispersion mentale en pratiquant les āsana.

Les noms des āsana sont significatifs, ils illustrent les étapes de l’évolution. Certains portent le nom de végétaux : arbre (vrksa), lotus (padma) ; d’insectes : sauterelle (śalabha), scorpion (vrśchika) ; d’animaux aquatiques et amphibies : poisson (matsya), tortue (kūrma), grenouille (bheka ou mandūka), crocodile (nakra). Certains āsana sont appelés de noms d’oiseaux : coq (kukkuta), héron (baka), paon (mayura), cygne (hamsa). D’autres de quadrupèdes : chien (svāna), cheval, (vātāyana), chameau (ustra), lion (simha). Les reptiles comme le serpent (bhujanga) ne sont pas oubliés, non plus que l’homme à l’état embryonnaire (garbha-pinda). Des héros légendaires prêtent leur nom à d’autres āsana : Vīrabhadra et Hanumān, fils du Vent. Le souvenir de sages tels que Bharadvāja, Kapila, Vasistha et Viśvāmitra est évoqué dans le nom de certains āsana.

PRANAYAMA - LE SOUFFLE VITAL

Dans la pratique du prāṇayama, les narines, les conduits respiratoires et les membranes du nez, la trachée artère, les poumons et le diaphragme sont les seules parties du corps qui soient activement impliquées. Elles seules reçoivent le plein impact de la force du prāṇa, le souffle de vie. C’est pourquoi il ne faut pas chercher à maîtriser le prāṇayama trop vite, car c’est avec la vie même qu’on joue. Une pratique incorrecte peut faire naître des désordres respiratoires et perturber le système nerveux. Donc on ne doit pas chercher à pratiquer le prāṇayama tout seul. Il est essentiel de se placer sous le contrôle d’un professionnel qui connaît les limites physiques de son élève.
Prāṇāyāma. Comme le mot yoga, le mot prāṇa recouvre de nombreuses acceptions. Prāṇa signifie souille, respiration, vie, vitalité, vent, énergie ou force. Il désigne également l’âme, par opposition au corps. Il est généralement employé au pluriel pour désigner les rythmes du souffle de la vie.
Ayāma signifie longueur, expansion, allongement ou retenue. Prānāyāma représente donc, à la fois, l’allongement du souffle et son contrôle. Ce contrôle s’étend à toutes les fonctions de la respiration, à savoir, (1) l’inspiration qui est appelée puraka (emplissage) ; (2) l’expiration qui est appelée recaka (vidage) et (3) la rétention, le fait de retenir la respiration, état dans lequel il n’y a ni inspiration, ni expiration, et que l’on appelle kumbhaka. Dans les textes traitant de Haṭha Yoga, kumbhaka est aussi employé dans un sens plus général qui comprend les trois processus respiratoires : inspiration, expiration et rétention. Kumbha est une cruche, un pot à eau, un vase, ou un calice qui peut être entièrement vidé d’air et rempli d’eau, ou entièrement vidé d’eau et rempli d’air. Pareillement il y a deux états de kumbhaka, à connaître ; lorsque la respiration est retenue après une inspiration et lorsque la respiration est retenue après une expiration complète. Le premier état (poumons pleins), avant que ne commence l’expiration, s’appelle antara kumbhaka. Le second (poumons vides), avant que ne commence l’inspiration, s’appelle bāhya kumbhaka.

Antara signifie interne ou intérieur, tandis que bāhya signifie externe ou extérieur. Donc kumbhaka est l’intervalle de temps entre une inspiration complète et une expiration (antara kumbhaka), ou entre une expiration complète et une inspiration (bāhya kumbhaka). Dans ces deux états, la respiration est suspendue ou retenue. 
Le Prāṇāyāma est donc la science de la respiration. C’est l’axe autour duquel tourne la roue de la vie. Le prāṇa doit être maîtrisé lentement et progressivement selon la capacité et les limites physiques de chacun. Ce rythme renforce le système respiratoire et apaise le système. A mesure que les désirs et agitations mentales diminuent, l’esprit se retrouve libre et devient un instrument de concentration.
Par une pratique incorrecte du prāṇayama, l’élève s’expose à divers troubles tels que hoquet, aérophagie, asthme, toux, catarrhe, migraines, douleurs oculaires et d’oreilles. Cela prend beaucoup de temps pour apprendre à inspirer et expirer correctement, régulièrement, lentement et profondément.. Dans la pratique du prāṇayama les yeux sont fermés pour empêcher l’esprit de vagabonder.
Les émotions affectent le rythme respiratoire ; inversement, on peut contrôler ses émotions par une régulation délibérée de sa respiration. Comme c’est l’objet même du yoga de contrôler et d’apaiser l’esprit, le yogi commence par apprendre le prāṇayama pour avoir la maîtrise de sa respiration. 

Ostéopathie

L’ostéopathie est une médecine complémentaire née aux USA au XIXème siècle, à l’initiative d’Andrew Taylor Still, qui fonda la première école d’ostéopathie en 1892 à Kirksville. L’un de ses élèves, John Martin Littlejohn, introduisit l’ostéopathie en Europe en 1917, en créant la British School of Osteopathy.
L’arrivée de l’ostéopathie en France survint à la fin des années 40, après plusieurs tentatives infructueuses. En 1949, un ouvrage dédié à cette pratique fut publié en 1949 par le Dr. Lavezzari, qui fonda en 1952 la Société Française d’Ostéopathie. Parallèlement, Paul Gény créa en 1950 l’Ecole Française d’Ostéopathie.
L’ostéopathie ne fut officiellement reconnue en France qu’en 2002, dans un article de la loi n°2003-303 du 4 mars 2002. Depuis, cette médecine complémentaire connaît un essor constant.

L’ostéopathie repose sur trois principes fondamentaux :
• Une médecine manuelle avec la main comme outil d’analyse et de soin
• Une médecine holistique, avec la prise en compte de l’individu dans sa globalité
• Un principe d’équilibre tissulaire.

Selon ces principes, toute perte de mobilité au niveau d’une articulation, d’un muscle, d’un ligament ou d’un organe est susceptible de provoquer un déséquilibre de l’état de santé d’une personne. L’ostéopathie consiste à rechercher ces pertes de mobilité pour les traiter. Elle nécessite ainsi des connaissances approfondies en anatomie et en physiologie.

Le dysfonctionnement d’un élément de l’organisme peut résulter d’évènements aussi divers que :
• Des mauvaises postures ;
• Un traumatisme ;
• Un faux mouvement ;
• Le stress ;
• Une alimentation déséquilibrée ;
• L’existence d’une pathologie aigüe ou chronique.

Le corps humain ayant une tendance naturelle à s’auto-équilibrer, un déséquilibre au niveau d’un système peut se répandre à d’autres systèmes, en interactions constantes avec le système initialement perturbé.
L’ostéopathie cherche d’abord à comprendre l’origine des symptômes ressentis par la personne, à partir d’une analyse détaillée des différents systèmes du corps. Cette approche systémique permet d’agir sur les troubles fonctionnels et sur les symptômes résultant des déséquilibres des différents systèmes.
L’ostéopathie pédiatrique quant à elle prend en compte l’historique de la naissance de l’enfant (par exemple, cordon ombilical autour du cou, utilisation de forceps, etc.) et du développement de l’enfant (absence de stade à quatre pattes, marche tardive, etc.) et de l’adolescent (trouble de l’attention, problèmes posturaux, règles douloureuses, etc.).
L’ostéopathie peut également prendre en charge des problèmes fréquemment constatés chez les enfants tels que : difficultés à s’endormir ou réveils nocturnes, énurésie, constipation et reflux, pleurs fréquents chez un bébé ou un jeune enfant.
De nos jours, l’ostéopathie est devenue une thérapie précieuse qui nous accompagne tout au long de la vie.

QUESTIONS FRÉQUEMMENT POSÉES PAR LES PARENTS:

• L’enfant ou le bébé peut-il avoir mal pendant la séance d’ostéopathie ?

Non car l’ostéopathe pratique des techniques douces qui visent à accompagner les tissus (pas à les contraindre).
Néanmoins, il arrive que le bébé ou l’enfant pleure suite au relâchement ou qu’il exprime une émotion refoulée dans le corps.

• A quelle fréquence doit-on faire des séances d’ostéopathie ?

Lorsqu’il s’agit d’un problème ponctuel, une seule séance suffit.
Entre zéro et deux ans, le bébé peut venir chez l’ostéopathe pour un suivi de croissance à raison d’une séance tous les deux mois.
Chez un enfant qui a des troubles respiratoires installés depuis un certain temps, il est préférable de commencer par deux à trois séances espacées de trois semaines.

• Combien de temps dure une séance ?

Une séance dure de 30 à 60 minutes en fonction de la réactivité des tissus, de la réponse posturale, etc. A la fin de la séance, le bébé ou l’enfant adopte une posture de détente qui indique l’aboutissement de la séance.
De nos jours, l’ostéopathie est devenue une thérapie indispensable qui nous accompagne tout au long de la vie.

Le chant

La technique vocale qu’utilise Katarina est dite “Italo-Suèdoise” est celle des vieux maîtres italiens à laquelle se mêle l’influence suèdoise.

Elle est enseignée aux États-unis par David Jones et Patricia McCaffrey  qui furent élèves d’Alan Linquest. Alan Linquest naquît en 1891 de parents suèdois et étudia en Suède en 1938 et 1939 avec Inge Börg-Isène (prof. de Kirsten flagstad), puis avec Joseph Hislop (prof. de Jussi Bjoerling). Il fut ensuite considéré comme l’un des plus grands professeurs de technique vocale aux États-unis.

Les différents aspects de la Technique Vocale.
C’est le professeur de chant qui doit guider le chanteur dans son apprentissage de la technique. Tous les aspects de la technique vocale doivent être pris en compte :

• La posture
Les genoux sont légèrement fléchis, la colonne vertébrale est étirée, les épaules sont basses et la tête est dans le prolongement de la colonne vertébrale.

• La gestion du souffle et le soutien
Caruso disait qu’il ne faut pas plus d’air pour avoir une conversation avec des amis que pour chanter un air d’opéra.
Le chanteur doit apprendre à gérer la pression sous glottique.
La cage thoracique est comme suspendue par les muscles intercostaux. Cela provoque l’abaissement du diaphragme. C’est la pression exercée par les muscles abdominaux (petits obliques, grands obliques et muscles transverses) qui fera remonter lentement le diaphragme et permettra d’obtenir la pression nécessaire à la formation du son.
Si l’inspiration n’a pas été exagérée le chanteur pourra ouvrir encore un peu la cage thoracique au moment de « l’attaque » du son et lorsqu’il monte dans la tessiture.
Cette bonne gestion de la pression sous glottique permet de garder le larynx en position basse pendant la production du son.

• L’accolement sain des cordes vocales
Le subtil jeu des pressions musculaires permet un accolement sain des cordes vocales.

• La place du voile du palais
La sensation est souvent difficile à appréhender.
La bouche ovale et une légère tension des muscles zygomatiques permet de maintenir le voile du palais soulevé créant ainsi l’espace nécessaire à la formation des voyelles

• La formation et l’homogénéité des voyelles
La position de la langue à l’intérieur de la bouche détermine la voyelle. Celles-ci sont formées dans le pharynx à l’endroit de formation de la consonne « G ». Elles peuvent être visualisées au niveau des oreilles.
Afin d’obtenir des voyelles homogènes nous utiliserons l’espace de la voyelle « ou » pour la formation de toutes les voyelles.

• La dissociation langue/mâchoire
Afin de garder le pharynx ouvert dans la position du « ou », le jeune chanteur apprendra à dissocier la langue de la mâchoire.
Dans l’art vocal la mâchoire doit être légèrement abaissée et légèrement en arrière (les dents du bas sont légèrement en retrait des dents du haut). La langue et la partie antérieure du pharynx ne doivent pas entrer en contact.
D’autre part la pointe de la langue restera en contact avec les dents du bas lors de l’émission des voyelles et l’on aura soin qu’elle ne recule pas afin que sa base n’écrase pas le larynx.

• La formation des consonnes
Elles se forment plus en avant que les voyelles, avec les lèvres et la pointe de la langue. Les consonnes « k » et « G » sont formées plus en arrière.

• L’application de la technique au répertoire
Lorsque le chanteur commencera à travailler le répertoire il lui faudra mettre en pratique les concepts appris dans les exercices.
Il pourra vocaliser le morceau travaillé sur « NG » (aussi appelé moïto), sur la voyelle « ou », puis sur les voyelles du morceau. Ensuite seulement il rétablira les consonnes.

• La notion de projection est dangereuse
Le terme de « projection » est dangereux pour un chanteur. Il est nécessaire de garder à l’esprit que nous ne devons pas projeter la voix mais la laisser se développer d’elle-même.
Lorsque le chanteur veut « projeter sa voix » il pousse sur son instrument et serre les muscles de la « gorge ».

Sa formation de technique vocale a été complétée par des cours de Technique Alexander.

QUELQUES LIENS

Vidéo Youtube (en anglais) expliquant le rôle du diaphragme et de intercostaux dans la respiration du chant:
courte vidéo montrant le mouvement du diaphragme:
Courte vidéo sans son montrant le mouvement du diaphragme et des intercostaux:
Exemples d'exercices de Feldenkrais pour la mâchoire
Exemples d'exercices de Feldenkrais pour la mâchoire
Exemples d'exercices de Feldenkrais pour la mâchoire

La sophrologie

Elle a été inventée par Dr Alfonso Caycedo, neuropsychiatre colombien qui fit ses études en Espagne, à Madrid et à Barcelone. Il créa dès 1960 avec l’aide d’un professeur de grec le néologisme Sophrologie.
Ce mot est formé à partir de trois racines grecques : sos (serein), phren (cerveau) et logos (étude, science).
On peut ainsi traduire le mot sophrologie par "science de l’harmonie du cerveau".
Lors d’un voyage en Inde en 1965, le Dr Caycedo rapporta les exercices de la "Relaxation Dynamique" repensés à partir des exercices de méditation du yoga, du bouddhisme et du zen.

C'est une thérapie comportementale.

Les quatres principes fondamentaux sont:

1. L’intégration du schéma corporel
c’est-à-dire avoir une représentation réaliste et acceptable de son corps et de ses limites. Ce principe incite à travailler sur son propre ressenti corporel dans le but de vivre harmonieusement avec.

2. Le principe de réalité objective
consiste à être le plus objectif possible par rapport à soi, aux autres et à son environnement sans porter de jugement de valeur mais simplement en considérant les choses pour ce qu’elles sont.

3. Le principe d’action positive
consiste à avoir conscience des conséquences de ses actes, tenter d’en retenir les aspects positifs ainsi que les valoriser. Il s’agit donc d’agir en pleine conscience pour prendre confiance en soi. C’est également le fait que tout effet positif sur le mental a une répercussion positive sur le corps et inversement.

4. Le principe d’adaptabilité
se définit par la capacité à conserver un point de vue positif, à gérer le stress et réagir avec créativité aux changements et aux nouvelles situations. Le principe d’adaptabilité est donc la facilitation du processus de changement proposé par la sophrologie quant aux difficultés communément rencontrées.

Prise en compte de la globalité du corps et de l’esprit, et de la respiration abdominale, clef du développement de l’énergie vitale (perte de la confiance en soi, angoisses, dépendances, phobies, dépression, insomnie, douleurs).
Elle offre des méthodes et techniques faciles à remettre en place dans la vie quotidienne
Elle combine des techniques de respiration , de relaxation musculaire et d’imagerie mentale.

Situations particulières

Adolescence

L'adolescence est une période de transition bien souvent synonyme de : difficulté à dormir, manque de concentration, émotions fortes, stress, mal-être ou manque de confiance en soi. Cette période est inévitable ! Cependant la sophrologie permet aux adolescents d’aborder cette étape de vie plus sereinement en travaillant sur l'acceptation de ces changements physiques et émotionnel. Et par conséquent de renforcer sa confiance, se préparer à un examen, développer sa concentration, réguler le sommeil, mieux vivre son corps

Sommeil

La sophrologie accompagne les personnes ayant des difficultés d’endormissements ou de réveils nocturnes. Elle est efficace quand il s’agit de trouble léger, dû à un mode de vie fatiguant et stressant ou de mauvaises habitude lors du coucher.
Chacun de ces troubles pouvant être traités par des exercices de détente et de respiration. A celles-ci s’ajoute des techniques de futurisation pour bien préparer sa nuit, avec plaisir.
Il est souvent nécessaire de travailler sur l’angoisse d’aller se coucher, générée par les insomnies répétées.

Stress

En situation génératrice de stress, la sophrologie apprend à lâcher-prise sur les contrariétés et mieux gérer ses émotions. Petit à petit, la personne est mieux préparée à surmonter les moments importants.La sophrologie permet de mieux vivre les situations de stress, comme la surcharge de travail, la perte de sens, la peur des changements organisationnels.
C’est un outil d’amélioration du collectif, du travail en groupe et de cohésion d’équipe